Rassembler les énergies et les compétences
au service des enfants à besoins particuliers à Londres
Vous êtes parents et vous avez des questions ?
Consultez le FAQ pour les parents de l'Observatoire pour les élèves à besoins éducatifs particuliers (AEFE).
Nous nous installons à Londres avec un enfant à besoins particuliers, quelles démarches entreprendre, quelle scolarité, quel financement ?
Nous rentrons en France, quelles démarches doit-on entreprendre pour scolariser au mieux notre enfant ?
Quels sont les financements en Angleterre pour les enfants à besoins particuliers ?
Le Petit Extra vous répond : En l’état, contrairement à la France il n’existe pas de financement. Les parents prennent en charge l’intégralité des financements. Certaines associations de parents prennent en charge une partie des rémunérations des AESH dans les écoles pour les élèves dont les parents sont dans le besoin. Le gouvernement britannique propose une aide financière pour les parents d'enfants à besoins particuliers comme le DLA ou le EHCP. Pour obtenir des conseils sur comment obtenir ces aides, contactez-nous.
Questions fréquentes :
En quoi un/une AESH peut aider mon enfant ?
Les AESH proposé(e)s ont-elles/ils une approche de psychologie (obtenue via une formation et/ou expérience) ?
Le Petit Extra vous répond : Tout dépend du profil de l’AESH. L’association de son côté, s’assure que l’AESH a les qualités humaines requises pour pouvoir épauler votre enfant.
Les AESH s’y connaissent-elles/ils dans les matières faisant l’objet de soutien ?
Le Petit Extra vous répond : Pas nécessairement. En revanche elles/ils sont invités à échanger avec les parents et les maitresses sur le fond et la forme pour proposer des supports les plus adaptés à l’enfant pour le rendre indépendant.
Est-ce que je dois faire les démarches administratives, impôts, paye, pour embaucher une AESH ?
Le Petit Extra vous répond : Oui ces démarches incombent aux parents à Londres. L'association propose un modèle de contrat à titre indicatif .
Est-ce que mon enfant risque d’être mis à l’écart ou pointé du doigt par les autres s’il a une AESH ?
Comment mon enfant va-t-il percevoir le fait d’avoir une AESH à ses côtés ?
Le Petit Extra vous répond : Chaque expérience est unique et dépend beaucoup de l’âge.
Un parent vous répond : « Quand mon fils a eu des difficultés en classe, l’école nous a suggéré d’aller voir une psychologue qui à son tour a mis en avant l’importance de mettre en place une structure pour l’aider à se sentir bien en classe et à suivre le même programme que les autres. La charpente de cette structure est la présence d’une AESH à ses côtés à temps partiel. J’étais très angoissée au début - mon fils n’aime pas la nouveauté et il est très indépendant et j’avais peur que cela soit un échec. Il a en fait accueilli l’AESH très facilement. Sa douceur et sa patience lui ont permis de se sentir rapidement en confiance. En ayant un soutien individuel, il a pu avancer à son rythme et a progressé bien plus rapidement qu'avant ».
J’ai peur que la maitresse ne s’occupe plus de mon enfant ? Comment se passe la répartition des rôles ?
Le Petit Extra vous répond : En général l’école organise une réunion avec l’équipe qui suit l’enfant (AESH, orthophoniste, psychomotricien(ne) …) en début d’année. C’est l’occasion de discuter de la répartition des rôles de chacun. L’objectif de l’AESH est de permettre l’inclusion dans une classe donc au sens propre de mieux inclure l’enfant dans la classe.
Comment vais-je communiquer avec l'AESH de mon enfant ?
Le Petit Extra vous répond : Il n’y a pas de règles. Chacun peut organiser son fonctionnement suivant ses besoins, possibilités et surtout besoins de son enfant.
Un parent vous répond : « Je reçois un compte rendu en fin de semaine, résumant de manière assez factuelle ce que mon fils a fait pendant que l'AESH était avec lui. Si j'ai des questions, on se parle à la sortie de l'école ou au téléphone. J'ai trouvé les comptes rendus très intéressants - cela permet de mieux se rendre compte de ce qui se passe bien et de ce qui reste difficile. Ce sont également des supports que l'on peut partager dans le cadre d'autres suivis en dehors de l'école ».
Un autre parent vous répond :« Pour ma part, j’appelle l’AESH tous les 15 jours et on échange très librement sur les apprentissages, la sociabilisation de ma fille mais aussi les besoins de l’AESH. Souvent elle me fait part de ses idées qui sont toujours pertinentes ».
Je ne pourrais pas payer une AESH à plein temps et pourtant mon enfant en aurait besoin ?
Peut-on aménager le planning de manière flexible selon ses besoins les plus forts ?
Le Petit Extra vous répond : A Londres les parents sont totalement libres de leurs choix en la matière.
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